Image composite, illustration d’une nouvelle anthologie à paraître pour le 25ème anniversaire de La Spirale aux éditions Serious Publishing © Laurent Courau (2021)

REVUE DE PRESSE

La Spirale, Les Sources Occultes, Mutations pop et crash culture

Œuvre transmédia dont le long-métrage ne représente qu’une des nombreuses identités, Les Sources Occultes de Laurent Courau prend ici la forme d’un conte initiatique, de l’apprentissage d’un monde au bord du chaos, fasciné par sa propre destruction. Réalisé avec beaucoup de libertés, le film constitue une excroissance du labyrinthique projet de La Demeure du Chaos et participe à la peinture d’un monde en devenir, entre effroi et merveilles.

LE MAUDIT FESTIVAL (JANVIER 2020)

Dix ans après le documentaire Vampyres, Laurent Courau revient avec un long-métrage sombre, violent et mystérieux, rendant hommage aux maîtres du bizarre que sont Kenneth Anger et Benjamin Christensen. Les Sources Occultes s’impose d’ores et déjà comme un OVNI cinématographique, déroutant et esthétique, mettant en lumière la part sombre de l’humanité et décrivant à sa manière notre triste monde, tragique et actuel.

OLIVIER BERNARD, OBSKÜRE (SEPTEMBRE 2019)

Il y a une décennie, nous vous proposions le documentaire Vampyres, voyage dans la contre-culture underground à travers le monde. Depuis, son auteur Laurent Courau a rejoint la célèbre Demeure du Chaos, et a co-écrit avec l’artiste et homme d’affaires Thierry Ehrmann ce projet trans-média, constitué à la fois d’une web-série et de ce film, qu’il décrit comme « un conte fantastique pour adultes, surréaliste et horrifique, empreint d’ésotérisme ». Une véritable déclaration d’amour à toute une culture alternative, avec en tête Kenneth Anger et Benjamin Christensen.

L’ÉTRANGE FESTIVAL (SEPTEMBRE 2019)

Il y a des lustres que je lis La Spirale, cette mine d’informations et d’inspirations artistiques et cyberpunk. Il y avait donc des lustres que je voulais interviewer Laurent Courau, son fondateur et auteur principal depuis 1995. C’est aujourd’hui chose faite, et je suis heureux de pouvoir publier cet échange fleuve, long et fécond, pétri de l’intelligence de ceux qui étudient, depuis des décennies, les marges obscures de nos sociétés qui se voudraient très rationnelles. (…) Discuter avec Laurent, c’est un peu voir le futur, l’invisible, le rêve et l’enfer en même temps.

ANTOINE ST. EPONDYLE, COSMO-ORBUS.NET (JANVIER 2019)

Chaque jour que Dieu (dé)fait, s’agite en coulisses, en souterrain, derrière, dessous, demain, bref, partout et invisible, un monde empli d’énergie, d’idées, de ressources. On l’appelle le plus souvent l’underground ou la contre-culture. Ces deux dernières décennies, aucun média français ne l’a couvert plus sérieusement, plus respectueusement, et avec plus de constance que le site internet La Spirale. C’est la raison pour laquelle nous avons souhaité rencontrer son fondateur, Laurent Courau, journaliste éclectique pour dire le moins, afin qu’il nous raconte ses aventures au sein des marges les plus folles et étonnantes de la planète, et nous transmette quelques-uns de leurs messages ou, plutôt, nous fasse bénéficier des conseils et enseignements qu’il tire de plus de vingt ans passés à explorer l’art surgi des bas-fonds. (…) Depuis le décès de Jean-François Bizot, il y a un nouveau « pape de l’underground », selon l’expression consacrée, et il s’appelle Laurent Courau. Interview joyeuse, détendue et tournée vers l’avenir.

JULIEN MILLANVOYE, POSTAPMAG (MAI 2018)

Les vampires existent ! Si ! Sortis des romans, des films et des tables de jeux de rôles, les seigneurs de la nuit se sont répandus sur le monde faisant de New York leur nouvelle capitale des ombres, d’où ils travaillent à l’éveil de leurs semblables. (…) Riche en éclaircissements et en recherches sur ce qui apparaît en définitive comme étant bien plus qu’une mode passagère, le livre Vampyres, de Laurent Courau, richement illustré des clichés de Lukas Zpira, ouvre des perspectives plus vastes sur le monde des créatures de la nuit qui, si elles ne boivent plus littéralement notre sang, n’en demeurent pas moins les véritables seigneurs de l’ombre.

JEAN-FRANÇOIS MICARD, D-SIDE (MAI 2006)

Catégorie cultures alternatives, nous vivons une histoire d’amour un peu étrange avec La Spirale : fascination ; connections entre réels [pluriels] et imaginaires ; in/exfiltrages en règle. Il serait difficile de cacher notre curiosité, au Cafard, face au nouvel essai/reportage de son fondateur, à savoir : Laurent Courau. (…) L’essai passionnera toute personne curieuse [et peu importe vos goûts]. Et c’est là le point central de Vampyres : cette volonté palpable de l’auteur a essayer d’ouvrir notre horizon ; à, au-delà même de ce mouvement [qui n’est finalement qu’un négatif de notre société], chercher à nous faire comprendre qu’il n’existe pas que le mainstream. Que quiconque peut choisir de vivre ses fantasmes, ses envies, ses idées jusqu’au bout.

DAYLON, LE CAFARD COSMIQUE (MAI 2006)

Laurent Courau, qui fut pendant des années le cerveau de La Spirale, l’un des seuls sites underground français, vient de publier chez Flammarion, en compagnie de Lukas Zpira à la photographie, un livre sur la mystérieuse culture des vampyres, en apéritif d’un documentaire qui devrait voir le jour fin 2006. (…) Les vampyres font sans aucun doute partie de la « contre-culture posthumaniste », au même titre que les technochamanes, les transhumanistes, les magiciens du chaos… Outre la nostalgie d’un état surhumain, on y retrouve aussi l’interpénétration borgesienne entre le réel et la fiction. (…) Et on dit que la société tend vers l’homogénéisation…En attendant l’invasion des otherkins, plongeons-nous avec délices dans le bouquin de Courau et Zpira. Et un bloody mary O négatif, un !

RÉMI SUSSAN, LE TEMPS DU POSTHUMAIN (MAI 2006)

Journaliste indépendant spécialisé dans les cultures alternatives contemporaines, Laurent Courau (que nous connaissons notamment grâce à son excellent webzine La Spirale), publie aujourd’hui chez Flammarion le résultat d’une enquête de longue haleine : Vampyres, quand la réalité dépasse la fiction. C’est dans les quartiers chauds de New York qu’il est parti, aux côtés de Lukas Zpira, à la rencontre des vampyres, une subculture étonnante : entre société secrète, pratiques occultes et inspiration victorienne. Évitant soigneusement tout sensationnalisme, l’auteur nous parle de ce qui pourrait bien devenir un extraordinaire phénomène de société.

ALYZ TALE, ELEGY (AVRIL 2006)

Attention livre événement ! Le 18 avril prochain sort dans les librairies : Vampyres, quand la réalité dépasse la fiction de Laurent Courau. Un document exceptionnel sur la scène vampyre de New York City et son expansion dans le reste du monde. Canular ? Fumisterie gothique extrême ? Il n’en est rien, et vous découvrirez au fil des pages de ce passionnant bouquin – en sus du pourquoi de « vampire » avec un « y » – que la réalité du vampirisme est bien loin du phénomène de mode (tout comme il l’est des clichés à la Bram Stoker). Au centre de ce mouvement, la rue d’abord, le sexe, les modifications corporelles, les gangs, mais aussi la solidarité, la discipline, la magie et une véritable philosophie. Une culture qui s’étend des rues du Queens et de Brooklyn à Osaka, Toronto ou Moscou… Le processus de phagocytage des dernières contre-cultures est en marche ! On en reparle très bientôt !

MAXENCE GRUGIER, FLUCTUAT.NET (AVRIL 2006)

Quelques 15 000 descendants de Dracula hantent aujourd’hui les nuits des grandes villes. Epok les a rencontrés… Munissez-vous de toutes vos bondieuseries, de vos croix et de vos gousses d’ail : ce que vous allez lire dans  Vampyres de Laurent Courau dépasse l’entendement.

JÉRÔME ANDRÉ, EPOK (AVRIL 2006)

C’est un livre sur la souffrance. Un livre sur ceux qui pensent (tordu, autrement, mal, très mal, fort bien). C’est un livre de génération sans âge, c’est la Mutation écrite noire sur blanc, brouillonne, tatillonne. C’est un livre sur ces dix dernières années et les décennies à venir. Sa couverture est rouge, rouge comme une évidence. Il s’agit de vie, de sang, de bouillonnement. C’est un livre Majeur, sans majuscule, un livre qui encule et défonce ce qui reste à masturber : nos esprits. Il s’intitule Mutations pop et Crash Culture – une anthologie de La Spirale.org (éditions du Rouergue). Dix ans de cyberculture, de sous-culture, de sur-culture. Interview.

DAVID DUFRESNE, DAVDUF.NET (OCTOBRE 2004)

Mutations pop et crash culture de Laurent Courau, une anthologie consacrée à la contre-culture contemporaine qui s’offre le luxe de l’intelligence (…) une longue et riche reflexion sur les excentriques d’aujourd’hui qui annoncent le monde de demain (…) de la belle ouvrage qui fera probablement date.

SANDRINE FILIPETTI, ROLLING STONE (MAI 2004)

Mutations pop et crash culture constitue un voyage essentiel au coeur des marges du monde, et au centre de celui de demain.

JEAN-FRANÇOIS MICARD, D-SIDE (MAI 2004)

Mutations pop et crash culture de Laurent Courau est une somme de la contestation que le bon-goût a nommé post-moderne. (…) Il se révélera urgent d’ouvrir l’anthologie de La Spirale pour avoir une idée des solutions que nous apportent l’imagination et la vie.

JULIEN MILLANVOYE, BLAST (MAI 2004)

Une confidence : il nous est arrivé plusieurs fois de découvrir des artistes, écrivains, théoriciens bien trippants en se connectant au site de La Spirale. (…) Nous voilà conviés à un long shoot de contre-culture hardcore, intello et très contemporain.

PHILIPPE NASSIF, TECHNIKART (MAI 2004)

Fringant vaisseau amoral des cultures déviantes, La Spirale fait le point sur huit années de rencontres au sommet de l’underground. À travers la quarantaine d’interviews compilées, Laurent Courau réunit une incroyable galerie de mutants digitaux et d’hacktivistes azimuthés qui dessine en creux les circonvolutions et les interrogations de notre époque. Entre l’étude de moeurs (la première de ce début de siècle ?) et l’invention du documentaire-SF.

ALEXANDRE BOUCHEROT, FLUCTUAT.NET (MAI 2004)

Félicitons-nous de la sortie de Mutations pop et crash culture de Laurent Courau car, à sa lecture, on se prend à rêver – chose rare aujourd’hui – d’un futur multiple encore possible, où chaos ne rime pas forcément avec conflits, un futur créatif et exubérant où toutes les voies sont encore ouvertes et praticables.

MAX RENN, CODA (JUIN 2004)

Mutations pop et crash culture est un livre puissant où l’on retrouve des analyses toujours très fines des mutations technologiques qui affectent nos manières de vivre (…) un livre un brin cinglé qui exhume le véritable héritage des 90’s pour nous faire entrer de plain-pied dans le XXIe siècle technologique et numérique.

FNAC.COM (JUIN 2004)

Mélange ahurissant de théories politiques, croyances new age, pratiques corporelles ou sexuelles, la contre-culture née sur le Net grignote la société. Laurent Courau en fait le tour dans un livre d’interviews. (…) Un Maurice G. Dantec, prophète du pourrissement de la société, y côtoie un « volontaire de l’extinction de la race humaine » (pour sauver la Terre). Un ancêtre des antipubs du Billboard Liberation Front succède à un adepte des modifications corporelles, tandis qu’une égérie du cybersexe revient sur ses premières expériences et qu’un pionnier de la scène sadomaso, Francis Dedobbeleer, explique qu’il se bat « pour sortir le SM des ornières élitistes et des stéréotypes politiquement corrects ». Cette panoplie de l’étrange n’est qu’un tout petit échantillon de Mutations pop et crash culture, première incursion française dans l’underground à la sauce digitale.

ANNICK RIVOIRE, LIBÉRATION (JUIN 2004)

En dessous, en marge, contre… La position de La Spirale, « e-zine for the digital mutants », est « ailleurs », hors média, hors culture. La Spirale ne s’intéresse qu’à l’underground, la contre-culture, à « tous ces allumés qui annoncent le monde de demain », à « ces expériences marginales qui vont pénétrer la culture grand public, même édulcorées, de la même manière que la cyberculture a été vaporisée en cinq ans dans la société », dit Laurent Courau. (…) Miroir français de la cyberculture, La Spirale a su parler avant tout le monde de Stellarc et ses extensions technologiques, de Gibson, Sterling, Spinrad ou Dantec.

ANNICK RIVOIRE, LIBÉRATION (MAI 2001)

Quand déferle la vague hardcore, Laurent Courau monte au créneau : avec l’association Elastic Crew Enterprize, il organise une quarantaine de concerts (Fugazi, NoMeansNo, Godflesh) tout en bidouillant des flyers sur Amiga. Quand la techno-indus débarque, il se forme tout seul à la palette graphique et aux régies vidéo. Vidéo-clips pour le groupe Spina, première pub de Beck, dessins animés… Le voilà graphiste 3D, journaliste pour Arte et Le Monde Interactif, agitateur online et… gourou despotique de La Spirale.

AGNÈS GIARD, TECHNIKART (MARS 2001)

En deux ans, le site La Spirale est devenu un incontournable du Net pour tous ceux qui s’intéressent un tant soit peu aux cultures déviantes, décalées, voire carrément barjos ou tout simplement pour ceux qui recherchent un certain dépaysement intellectuel. Refondu il y a un an, le site est passé du statut de homepage délirante, mais déjà pléthorique, à celui de véritable portail des contre-cultures !

MAX RENN, CODA MAGAZINE (FÉVRIER 2001)

Laurent Courau, 31 ans, cumule les casquettes. Rédacteur en chef et fondateur de La Spirale (e-zine consacré aux contre-cultures), il est aussi directeur artistique chez Trimaran (une société spécialisée dans les images de synthèse et le webdesign) et électron libre de la création numérique. Cet « artisan de l’image numérique » a fait ses premiers pas dans les années 80 en bidouillant sur un Amiga 2000. Depuis, Laurent enchaîne des créations pour les plus grands labels.

E.M, TRANSFERT (DÉCEMBRE 2000)

« Artisan du numérique », Laurent Courau traque les techniques traditionnelles de création pour donner forme numérique à un imaginaire satirique, un regard sur l’art en marge de la pensée unique.

FRANCK KANTOR, GRAPHILAND (MARS 2000)

Le site Mondocourau est une de ces tranches de web où il fait bon s’arrêter. D’abord parce que son auteur, Laurent Courau, est un homme de goût, aussi bien porté sur le graphisme, le web design et les dernières technologies d’animation que sur la cyberculture dans tous ses états.

XAVIER DE MOULINS, LES INROCKUPTIBLES (SEPTEMBRE 2000)

Laurent Courau est illustrateur, réalisateur, animateur, webmaster et indépendant depuis toujours… Très vite passé sur PC, il y a environ cinq ans, il a pu multiplier son champ d’action numérique : réalisation d’animations pour des clips vidéo, des publicités, illustrations pour des pochettes de disques, logos, labels. Il compte au nombre de ses clients les plus importantes maisons de production et des chaînes de télévision (Sony Music, Polygram, Universal, Canal+) et quelques noms célèbres du monde musical (Beck, Nirvana, Aerosmith).

ADOBE.FR (AVRIL 1999)

Ce touche-à-tout maniaque est aussi infographiste, développeur de sites web et concepteur de films d’animation. Il compte des participations à de nombreux mags tels Coda, Net Pro, Computer Arts ou encore le défunt Webmaster. Vous pourrez goûter à toutes ces gâteries visuelles sur son second site Mondocourau, petit clin d’oeil au fanzine des « joyeux mutants » de R.U. Sirius : Mondo 2000.

MAXENCE GRUGIER, CYBERZONE (AVRIL 1999)

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